Apprendre à apprendre
Apprendre avec le Sketchnoting
Mémoriser plus rapidement grâce à la puissance du dessin !
Les élèves découvrent cet outil de la pensée visuelle, ils expérimentent la puissance du dessin pour mémoriser plus efficacement et rapidement.
Jeux cadres de Thiagi
Sivasailam Thiagarajan, dit Thiagi, est indien et vit aux Etats-Unis. Il est l’inventeur du concept de jeu-cadre.
Un jeu comporte deux éléments : un contenu (l’idée du jeu) et des règles. Un jeu cadre est une structure vide qui permet d’utiliser n’importe quel contenu et de l’adapter au plus juste des besoins et des participants : management, leadership, communication, finance etc… Le jeu cadre respecte un déroulé précis et un timing serré. Il existe plusieurs types de jeux cadres : les jeux cadres génériques, les jeux cadres conférences, les jeux cadres à thème, etc…
Utiliser les jeux cadres de Thiagi permet aux participants d’être impliqués et actifs. Ils ont envie de progresser, le challenge est un moteur. Les avantages du jeu cadre sont nombreux. Le jeu favorise les échanges entre les participants et renforce la cohésion du groupe. Il permet de libérer l’intelligence collective et la collaboration. Il permet également de prendre des décisions, de rendre efficace des réunions, de réfléchir collectivement et de passer à l’action.
Les jeux cadres de Thiagi sont un des outils de ludopédagogie que nous utilisons. La ludopédagogie est une méthode d’apprentissage et de réflexion basée sur le jeu. Elle s’inscrit dans une démarche pragmatique qui permet des formations plus rapides et plus efficaces.
Ludopédagogie
La ludopédagogie est une méthode d’apprentissage et de réflexion basée sur le jeu. Elle s’inscrit dans une démarche pragmatique qui permet des formations plus rapides et plus efficaces. Nous sommes de fait plus efficaces lorsque nous sommes acteurs de notre apprentissage et que l’apprentissage a du sens. Lorsque nous jouons, nous participons plus volontiers. Le jeu, par sa part de hasard qu’il contient et par les interactions qu’il entraine, permet d’atténuer la crainte de l’échec et de l’erreur. Il développe la prise en compte des règles, du savoir vivre ensemble, du respect. Il permet la communication entre les joueurs et développe la coopération.
La psychologie positive
La psychologie positive est née en 1998. Martin E. Seligman en est considéré comme le fondateur. Elle se définit comme « l’étude scientifique des forces et des qualités qui permettent aux individus et aux communautés de s’épanouir ». Elle se différencie de la pensée positive qui cherche à mettre en place une attitude positive en toute circonstance. Elle étudie les émotions, les traits de personnalité et les institutions qui fonctionnent. Elle vise à enseigner et à mettre en pratique des compétences pour développer de bonnes relations sociales.
Intelligences Multiples d’Howard Gardner
La théorie des Intelligences Multiples a été développée par Howard Gardner en 1983 dans son livre Frames of Mind, the Theory of Multiple Intelligences. Psychologue cognitiviste, professeur de neurologie à la faculté de médecine de Boston et professeur en éducation à Harvard, ce chercheur passionné par le potentiel humain définit 8 formes d’intelligences. Pour définir une intelligence ou capacité cognitive, il existe 8 critères qui sont le résultat d’études menées dans les domaines de l’anthropologie, de la psychologie cognitive, des approches psychométriques, physiologiques et neurologiques.
Les 8 intelligences sont : verbale/linguistique, logique/mathématique, visuelle/spatiale, musicale/rythmique, corporelle/kinésthésique, interpersonnelle, intrapersonnelle et naturaliste. Chaque être humain possède les 8 intelligences et peut les développer tout au long de sa vie. Les Intelligences Multiples sont un outil utilisé dans le domaine de l’apprentissage et dans celui du management. Elles permettent de développer les soft skills dans le management.
Neurosciences
Le défi des neurosciences consiste à expliquer le fonctionnement du cerveau, organe éminemment complexe qui abrite plusieurs milliards de neurones.
Le champ de la recherche est transdisciplinaire, il regroupe la biologie, la chimie, les mathématiques, la neuropsychologie.
Les neurosciences sont souvent représentées sous l’angle des neurosciences cognitives, grâce aux travaux d’études réalisés avec l’imagerie médicale.
Les avancées dans la compréhension du fonctionnement du cerveau intéressent particulièrement le champ des apprentissages et les formations : comment favoriser l’attention ? Qu’est-ce que l’ancrage ? Quel est le rôle des émotions ? Quels sont les leviers de la motivation ? Quel est l’intérêt de faire appel aux cinq sens ? Quel est le rôle de l’erreur ? A quoi servent les neurones miroir ? Autant de questions auxquelles les neurosciences s’efforcent d’apporter des réponses et qui sont à prendre en compte dans le management : intégrer ces nouvelles données permet d’améliorer la prise de décisions, de favoriser la collaboration. Elles permettent également de comprendre pourquoi donner des feed-back et communiquer du sens est essentiel.
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La théorie des Intelligences Multiples a été développée par Howard Gardner en 1983 dans son livre Frames of Mind, the Theory of Multiple Intelligences. Psychologue cognitiviste, professeur de neurologie à la faculté de médecine de Boston et professeur en éducation à Harvard, ce chercheur passionné par le potentiel humain définit 8 formes d’intelligences. Pour définir une intelligence ou capacité cognitive, il existe 8 critères qui sont le résultat d’études menées dans les domaines de l’anthropologie, de la psychologie cognitive, des approches psychométriques, physiologiques et neurologiques.
Les 8 intelligences sont : verbale/linguistique, logique/mathématique, visuelle/spatiale, musicale/rythmique, corporelle/kinésthésique, interpersonnelle, intrapersonnelle et naturaliste. Chaque être humain possède les 8 intelligences et peut les développer tout au long de sa vie. Les Intelligences Multiples sont un outil utilisé dans le domaine de l’apprentissage et dans celui du management. Elles permettent de développer les soft skills dans le management.
Jeux cadres de Thiagi
Sivasailam Thiagarajan, dit Thiagi, est indien et vit aux Etats-Unis. Il est l’inventeur du concept de jeu-cadre.
Un jeu comporte deux éléments : un contenu (l’idée du jeu) et des règles. Un jeu cadre est une structure vide qui permet d’utiliser n’importe quel contenu et de l’adapter au plus juste des besoins et des participants : management, leadership, communication, finance etc… Le jeu cadre respecte un déroulé précis et un timing serré. Il existe plusieurs types de jeux cadres : les jeux cadres génériques, les jeux cadres conférences, les jeux cadres à thème, etc…
Utiliser les jeux cadres de Thiagi permet aux participants d’être impliqués et actifs. Ils ont envie de progresser, le challenge est un moteur. Les avantages du jeu cadre sont nombreux. Le jeu favorise les échanges entre les participants et renforce la cohésion du groupe. Il permet de libérer l’intelligence collective et la collaboration. Il permet également de prendre des décisions, de rendre efficace des réunions, de réfléchir collectivement et de passer à l’action.
Les jeux cadres de Thiagi sont un des outils de ludopédagogie que nous utilisons. La ludopédagogie est une méthode d’apprentissage et de réflexion basée sur le jeu. Elle s’inscrit dans une démarche pragmatique qui permet des formations plus rapides et plus efficaces.
Ludopédagogie
La ludopédagogie est une méthode d’apprentissage et de réflexion basée sur le jeu. Elle s’inscrit dans une démarche pragmatique qui permet des formations plus rapides et plus efficaces. Nous sommes de fait plus efficaces lorsque nous sommes acteurs de notre apprentissage et que l’apprentissage a du sens. Lorsque nous jouons, nous participons plus volontiers. Le jeu, par sa part de hasard qu’il contient et par les interactions qu’il entraine, permet d’atténuer la crainte de l’échec et de l’erreur. Il développe la prise en compte des règles, du savoir vivre ensemble, du respect. Il permet la communication entre les joueurs et développe la coopération.
La psychologie positive
La psychologie positive est née en 1998. Martin E. Seligman en est considéré comme le fondateur. Elle se définit comme « l’étude scientifique des forces et des qualités qui permettent aux individus et aux communautés de s’épanouir ». Elle se différencie de la pensée positive qui cherche à mettre en place une attitude positive en toute circonstance. Elle étudie les émotions, les traits de personnalité et les institutions qui fonctionnent. Elle vise à enseigner et à mettre en pratique des compétences pour développer de bonnes relations sociales.
Neurosciences
Le défi des neurosciences consiste à expliquer le fonctionnement du cerveau, organe éminemment complexe qui abrite plusieurs milliards de neurones.
Le champ de la recherche est transdisciplinaire, il regroupe la biologie, la chimie, les mathématiques, la neuropsychologie.
Les neurosciences sont souvent représentées sous l’angle des neurosciences cognitives, grâce aux travaux d’études réalisés avec l’imagerie médicale.
Les avancées dans la compréhension du fonctionnement du cerveau intéressent particulièrement le champ des apprentissages et les formations : comment favoriser l’attention ? Qu’est-ce que l’ancrage ? Quel est le rôle des émotions ? Quels sont les leviers de la motivation ? Quel est l’intérêt de faire appel aux cinq sens ? Quel est le rôle de l’erreur ? A quoi servent les neurones miroir ? Autant de questions auxquelles les neurosciences s’efforcent d’apporter des réponses et qui sont à prendre en compte dans le management : intégrer ces nouvelles données permet d’améliorer la prise de décisions, de favoriser la collaboration. Elles permettent également de comprendre pourquoi donner des feed-back et communiquer du sens est essentiel.